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Foxy et Moxy, les psychédéliques les plus érotiques ?

nuit

By Nuit

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in this article
  • "Sex on the Edge" l’article de Playboy :
  • Les effets, le timing et le dosage :
  • Mon expérience et une ouverture :
nuit

By Nuit

Disclaimer: The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the official policy or position of the Chemical Collective or any associated parties.

Après avoir récemment rédigé un article sur les liens entre substances psychotropes et sexualité, j’ai ressenti le besoin de consacrer un texte entier à deux molécules bien particulières : Moxy (5-MeO-MiPT) et Foxy (5-MeO-DiPT). Souvent présentées comme des “sœurs jumelles“, elles restent dans l’ombre du célèbre 2C-B, qui, rappelons-le, fut à une époque vendu en pharmacie comme aphrodisiaque. Pourtant, malgré leur statut plus underground, Moxy et Foxy semblent présenter un potentiel érotique bien plus marqué, presque troublant.

De mon côté, j’ai eu l’occasion d’expérimenter Moxy, dont les effets sont très proches de ceux de Foxy malgré de subtiles différences. En amont, j’ai passé beaucoup de temps à explorer les trip reports disponibles en ligne, qu’ils concernent une recherche de plaisir sexuel ou non. Et une chose est sûre : ces substances ne laissent personne indifférent.

Mais attention : Moxy et Foxy ne sont pas des psychédéliques anodins. La frontière entre une dose plaisante et une dose potentiellement dangereuse est fine. Ce sont des composés puissants, peu documentés, et certainement pas les plus sûrs du marché. En plus d’avoir un effet sur la sérotonine qui peut les rendre très risqué à combiner avec d’autres substances ayant une action similaire comme la MDMA ou des IMAO.

Ce qui a éveillé ma curiosité pour ces molécules, c’est une découverte un peu hasardeuse, en me baladant sur Erowid. Je suis tombé sur un article de Playboy, publié en 2003, intitulé : “Sex on the Edge”, qui évoquait justement Foxy. On y parlait de son utilisation lors de gigantesques soirées psychédéliques et ça a suffi à piquer mon intérêt : je me suis dit que ça valait vraiment le coup d’y plonger un peu plus sérieusement.

"Sex on the Edge" l’article de Playboy :

Plutôt que de simplement vous résumer l’article qui m’a donné envie d’explorer cette molécule, je préfère vous partager directement certains extraits. Vous comprendrez sans doute, à travers leurs mots, d’où vient mon engouement pour ces substances.

“Le toucher rappelle fortement celui de la MDMA, mais sans l’effet secondaire d’impuissance sexuelle.”

“On retrouve la sensibilité tactile et les légères hallucinations de la MDMA, avec l’énergie érotique du 2C-B.”

« J’ai entendu dire que la Foxy était bien plus sensuelle que l’ecstasy »

« Avec le sexe sous ecsta, tu oublies parfois ce que tu fais. Avec la Foxy, tu peux avoir quatre heures de préliminaires, suivies d’une heure de sexe incroyable le tout sans gueule de bois. »

Il explique qu’il a pris de la Foxy avec sa copine Kim, le temps d’un week-end romantique à Mendocino : « On était ensemble depuis deux ans, et on voulait vivre quelque chose de spécial. On a pris de la Foxy et on s’est allongés nus devant un feu de cheminée. Kim m’a dit qu’elle avait l’impression de se faire baiser par la chanson qu’on écoutait. »

“La drogue sexuelle ultime : un mélange de Viagra, d’ecstasy et de LSD réuni en une seule molécule.”

“En une heure, j’étais dans un état merveilleux, sensuel. Tout était teinté d’érotisme. Le sexe était explosif, et trois heures plus tard, j’étais parfaitement prêt à retourner dans le monde extérieur, en public. Comme aphrodisiaque à court terme, ça laisse le 2C-B loin derrière.”

“J’ai beaucoup aimé, et je serais prêt à tenter un événement public avec , ça serait carrément aventureux. Pas de gueule de bois, et un sommeil excellent.”

“Le monde érotique était incroyable, explosif, presque effrayant. La redescente est rapide, et à la quatrième heure, je ne ressentais plus aucun effet.”

« Foxy est le psychédélique où le sexe devient le plus attirant, car elle déclenche une concentration intense », affirme Josh, d’un ton presque journalistique. « Contrairement au LSD, la Foxy permet de se concentrer pleinement sur le plaisir sexuel. Après un orgasme, je peux retrouver une érection en quelques minutes, ce qui m’est normalement impossible. Et plus tu fais l’amour sous Foxy, plus t’as envie de recommencer. Ça, je l’ai jamais vécu avec une autre substance. »

« Maintenant, mon corps est dans un état étrange, entre chaud et froid , un instant je frissonne, l’instant d’après, mes cuisses sont trempées de sueur. Les sensations physiques sont complètement inédites, mais mentalement, je reste lucide. Je parle clairement, mais avec ces frissons électriques délicieux sur la langue, je préfère embrasser les lèvres de John et le creux doux de sa gorge. D’un coup, tout devient un jouet sexuel : un poil sur son torse, les rideaux de la chambre qui effleurent mes fesses. »

Il fait une pause, puis on entend le couple murmurer : « Elle veut que je te dise qu’elle avait l’impression que la musique pénétrait en elle. Elle dit que c’était ultra chaud et que tu devrais vraiment essayer. »

« 22h. On s’arrache nos vêtements mutuellement, nos corps continuent de se frotter. On finit par passer à l’acte. Je n’ai pas de mots pour décrire les images et les sensations qui traversaient mon corps et mon esprit à ce moment-là. On gémissait comme des bêtes, des sons que je ne m’imaginais même pas pouvoir produire. Il y avait de la sueur partout, les draps étaient trempés. »

Et enfin, ce témoignage fort de la rédactrice de l’article pendant l’after-glow le lendemain :
« J’étais en train de grinder seule, devant le miroir », dit-elle, « et je n’arrivais pas à croire à quel point je me sentais libre, sans gêne.Foxy a changé ma manière de vivre ma sexualité. ».

Il faut bien comprendre à quel point la curiosité autour de cette molécule était forte. Même la rédactrice de l’article de Playboy, qui, pourtant, n’avait jamais expérimenté de substances psychédéliques,a fini par se convaincre de tester la Foxy elle-même. Alors si une personne totalement néophyte en vient à franchir le pas, imaginez bien ce que ça peut provoquer chez quelqu’un comme moi, déjà passionné par ces questions.

Évidemment, l’article se concentre sur la Foxy, mais il faut savoir que la Moxy est perçue comme tout aussi érotique. D’après mes investigations sur les retours d’expériences du net : La différence entre les deux tient davantage à des préférences personnelles qu’à une supériorité réelle de l’une sur l’autre dans leur potentiel sexuel ou sensoriel.

Les effets, le timing et le dosage :

Je vais d’abord vous lister les effets de ses molécules : 

Effets positifs communs

  • Euphorie et amélioration de l’humeur
  • Sensations tactiles amplifiées
  • Amélioration des sens (goût, odorat, etc.)
  • Intérêt et stimulation sexuelle
  • Ouverture émotionnelle
  • Relaxation (plus marquée avec Moxy)

Effets neutres communs

  • Sensation d’énergie corporelle et musculaire, picotements
  • Distorsions visuelles (formes, couleurs, mouvements)
  • Stimulation physique et mentale
  • Parfois désorientation et dissociation (surtout quand on les fume)

Effets négatifs communs

  • Troubles digestifs possibles (maux d’estomac, gaz, vomissements, diarrhée)
  • Tension musculaire, inconfort
  • Stimulation anxieuse
  • Difficultés à dormir pendant plusieurs heures après le pic d’effet
  • Parfois crispation de la mâchoire (plus fréquente avec Foxy)

En résumé, Moxy et Foxy partagent un spectre d’effets proches : une stimulation sensorielle et sexuelle marquée, mêlée à une certaine instabilité physique et émotionnelle, et des effets secondaires digestifs et musculaires à surveiller, en cherchant bien j’ai pu voir se regrouper des avis assez similaire en ligne concernant leurs différences : 

Puissance : Les deux composés sont assez puissants pour des tryptamines, mais entre les deux, Moxy est légèrement plus fort. L’augmentation du dosage par rapport à l’effet semble plus abrupte, Foxy, en comparaison, paraît plus douce.

Dosage : Pour Foxy, la dose moyenne orale se situe généralement autour de 10 mg, tandis que pour Moxy, elle est plutôt autour de 6 mg. Il est important de préciser que ces valeurs concernent les prises orales, car les doses fumées sont habituellement plus élevées. Cependant, la marge entre une dose efficace et une dose trop élevée est assez réduite : plusieurs cas rapportés sur Internet témoignent d’hospitalisations à partir de doses dépassant les 20 mg. Ces molécules n’ont pas forcément un impact mental très intense, mais leurs effets physiques sont puissants et parfois très lourds à supporter. C’est donc souvent cette lourdeur corporelle qui limite la montée en dose, plus que l’intensité mentale.

Sensations corporelles : Ces deux substances sont souvent comparées à des empathogènes comme la MDMA. Elles procurent des effets très physiques, décrits comme une version amplifiée des picotements qu’on peut ressentir sous d’autres psychédéliques. Entre les deux,  Moxy semble globalement plus euphorique, plus intense physiquement, et clairement plus orientée vers l’érotisme. Les deux molécules peuvent produire des effets désagréables comme des nausées ou des troubles gastriques, il semble que Foxy soit la plus lourde sur le bodyload mais certains usagers rapportent le discours inverse.

Effets mentaux : Ni l’un ni l’autre de ces psychédéliques ne sont particulièrement “mental” ou introspectif. Tous deux sont plutôt légers en termes de confusion ou de déstructuration cognitive. Cela dit, Foxy dans ses effets semble, dans l’ensemble des retours, plus intéressant intellectuellement. Moxy dans ses effets a tendance à être plus porté sur les sensations physiques, avec une espèce d’arrière-plan constant de stimulation sexuelle difficile à ignorer. Foxy, en revanche, m’a offert une expérience plus claire, plus axée sur les sensations.

Combinaison de substances : La pharmacologie de ces substances est encore partiellement inconnue, et c’est important a savoir surtout pour les combinaisons qui jouent sur la sérotonine. À doses très faibles, je pense que combiner un empathogène avec d’autres molécules se fait, notamment parce que certains RC SHOP vendent déjà des pilules contenant à la fois du 5-MAPB (empathogène) et du Moxy à des dosages très faibles. Mais cette combinaison a mis pas mal de gens en danger sur le net. Personnellement, je l’ai testée en dose légère, et j’ai senti que ça pouvait être lourd pour le corps et qu’on frôle le syndrome sérotoninergique qui peut être mortel, on parle donc d’un vrai danger pour la santé.

Par contre, combiner avec des psychédéliques classiques qui n’ont pas une grosse action sérotoninergique comme le LSD, les champignons ou le 2-CB, ça ne devrait pas poser trop de problèmes. Bien sûr, toutes les combinaisons de psychés peuvent créer une grosse potentialisation des effets, donc faut faire gaffe.

Pour les dissociatifs, c’est encore plus chaud : leur combinaison avec des psychédéliques peut décupler les effets de façon exponentielle, et s’ils agissent aussi sur la sérotonine, ça peut provoquer un syndrome sérotoninergique, ce qui est vraiment dangereux.

La combinaison avec le cannabis peut potentiellement être agréable, mais peut aussi rendre l’expérience plus angoissante, paranoïaque et désagréable, comme souvent avec le cannabis et les psychés. Le risque est quand même un peu plus faible, vu que le cannabis n’affecte pas trop le mental profond. Attention par contre à la vasoconstriction que certaines de ces substances provoquent, surtout si tu prends d’autres médocs, plantes ou suppléments qui ont aussi cet effet.

Mon expérience et une ouverture :

J’ai eu l’occasion de tester cette molécule plusieurs fois avec ma copine, toujours à doses raisonnables. Je parle bien sûr de Moxy, je n’ai pas encore testé Foxy.

Souvent, quand on lit sur Internet que l’aspect érotique est mis en avant, on pourrait croire qu’on parle d’une drogue qui nous transforme en bête assoiffée de sexe. Mais en réalité, c’est plutôt une molécule qui nous connecte à un érotisme intérieur, presque spirituel, très ressenti dans le corps avec une grande sensibilité.

Même si c’est une tryptamine, elle partage certains points communs avec le 2C-B et même la Mescaline, alors que je ne trouve pas ces ressemblances avec d’autres tryptamines que j’ai testées. L’effet érotique, assez marqué, reste subtil : le bien-être du partenaire est mis en avant.

Parfois, chez certains, ce contact rapproché a fait remonter des traumatismes ou des souvenirs sexuels douloureux. Chez ma partenaire et moi, ça a permis d’ouvrir une communication nouvelle, non seulement verbale, mais aussi physique. On a appris à se toucher sans être influencés par nos expériences passées ou par la pornographie, qui tend à rendre le sexe plus consommateur, violent et dénué de douceur.

J’ai aussi ressenti un aspect érotique dans la communication elle-même : elle devient plus libre, et on fait tomber des barrières.

À mon avis, tout comme la MDMA est utilisée en thérapie de couple pour favoriser vulnérabilité et empathie (sans forcément insister sur le sexe), Moxy et Foxy pourraient servir un rôle similaire, mais davantage axé sur l’intimité et la proximité physique.

Comme je l’ai dit dans mon article sur le sexe et les psychotropes, ces molécules ont un grand intérêt à être prises avec un partenaire en qui on a pleinement confiance, avec qui on peut être vulnérable.

Le choix du partenaire est crucial. Pourquoi ? Car, les psychédéliques ouvrent l’inconscient, réveillent émotions, souvenirs et parfois traumatismes. Il faut donc un lien de confiance, que ce soit un amoureux, un ami intime ou un partenaire complice, capable d’accompagner la vulnérabilité sans jugement.

Cette vulnérabilité nécessite une préparation sérieuse : choisir un lieu calme, sécurisé, prévoir une playlist apaisante, limiter les distractions et anticiper les imprévus. Sous substance, le contrôle n’est pas garanti, il faut donc créer un environnement qui permet de lâcher-prise en toute sécurité, surtout en cas de remontées émotionnelles intenses.

Enfin, bien que ces substances puissent amplifier le plaisir et la connexion, elles peuvent aussi provoquer des expériences émotionnelles très fortes, voire traumatisantes si on n’est pas prêt. L’expérience peut alors basculer d’une extase rare à un tsunami émotionnel. La confiance dans le partenaire et un cadre protecteur sont les clés pour transformer ce voyage en un moment de communion profonde et bienveillante.

J’ai lu des trip reports où des gens se sont retrouvés dans des expériences sexuelles avec quelqu’un sans réelle proximité, et quand cela a fait remonter des traumas, transformant à ce moment le trip en quelque chose de très différent et parfois douloureux, ça n’a pas été facile à gérer pour ces derniers.

Sous psychédélique, qu’il s’agisse de sexe ou de l’état mental, on est dans une grande vulnérabilité. Avoir un partenaire de confiance est donc crucial. L’expérience sera probablement érotique, mais il faut être conscient que beaucoup de choses peuvent remonter.

Même si ces molécules ne sont pas les psychédéliques les plus forts sur le mental ou la spiritualité, elles peuvent provoquer des expériences très intenses, très intimes et où l’on est très vulnérable.

Ce n’est clairement pas le genre de molécule à consommer pour un rapport avec quelqu’un croisé en boîte ou à une fête quelques heures avant.

La vraie question, quand on explore ces substances, c’est : qu’est-ce qui reste encore à découvrir dans le domaine des psychotropes et du sexe ?

Je pense que les psychédéliques ouvriront d’ici peu la voie à un épanouissement sexuel très profond. Je pense qu’on s’oriente vers ça, avec la légalisation progressive, la révolution psychédélique, et la création de nouvelles molécules.

Alexander Shulgin a créé des centaines de molécules, mais il y en aura encore d’autres à découvrir. Bientôt, on pourra explorer sans risque légal ou sanitaire des substances qui permettent de toucher à tous les aspects de la vie, pas seulement à la sexualité.

Au fond, psychédélique veut dire “qui révèle l’esprit”, et c’est exactement ce que ces expériences nous font traverser. Alors soyez prudent lors de vos explorations, la vie est sacrée, et une erreur peut parfois être fatale, bon voyage et bons orgasmes les amis.

Nuit | Blogueur communautaire chez Chemical Collective | youtube.com/c/nuit

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