Depuis l'établissement de la liste en Février 1990 de la liste des substances illicites, les différents gouvernements English n'ont cessé d'allonger la liste avec plusieurs dizaines d'ajouts . La france est ainsi un pays très strict dans sa politique de prohibition, par exemple, il a fallu attendre Le 19 novembre 2020 que la CJUE (Cour de Justice de l'Union Européenne) autorise le CBD à l'échelle Européenne pour que celui- ci soit nommé légal en France . Ainsi, plutôt que d'aborder la consommation de drogues comme une question de santé publique, l'État français préfère interdire et cacher le problème . Même les diverses associations et organismes de réduction des risques ont des difficultés à être prises au sérieux comme interlocuteurs crédibles par les pouvoirs publics.
Hors, cette prohibition a des conditions délétères sur les usagers de drogues se retrouvant marginalisés et criminalisés, sans contrôle de qualité des produits et les seuls acteurs du milieu de la réduction des risques sont des citoyens concernés et la prévention officielle se limite à effrayer les jeunes.
Malgré une prohibition, la France reste l'un des plus grands consommateurs de cannabis, la prohibition est donc un échec manifeste depuis une trentaine d'années dans lequel la France continue de s'engager (il règne dans le débat public, une grande importance accordée au sécuritaire), et une telle situation ne présage rien de bon pour l'avenir de la légalité des Nouveaux Produits de Synthèse en France .
Cependant, des associations telles que Techno plus, Safe, Psychoactif et Psychonaut travaille, en dépit de la prohibition pour avancer la connaissance et la réduction des risques afin de limiter les consommations abusives, les pouvoirs publics n'étant pas prévus à prendre cette question en charge, les humains ont toujours consommé des psychotropes et continueront, mais en France comme ailleurs, l'hypocrisie est la loi.
AUTEURS :
Botanique
QtHérisson
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Super article ! ??