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Comment se défaire de la résistance en trip ?

nuit

By Nuit

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in this article
  • L’égo et ses stratégies de survie
  • Ne pas céder non plus au désir
  • Le moment du passage : la mort de l’ego
  • Accueillir l’amour et le divin sans s’y attacher
  • Accepter de lâcher la résistance pour se laisser couler dans l’infini
  • Commencer à vivre, c’est arrêter de résister
nuit

By Nuit

Disclaimer: The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the official policy or position of the Chemical Collective or any associated parties.

Avant d’aller plus loin, il faut poser les bases. Comprendre ce qu’on appelle la résistance intérieure, et surtout, comment elle se manifeste sous trip. J’ai déjà fait une vidéo sur le sujet mais j’ai voulu en parler plus en profondeur car c’est un élément clef de ces expériences transcendantales que sont les trips.

La résistance en pleine expérience psychédélique, c’est cet acte souvent inconscient de vouloir bloquer, contrôler, rationaliser ce qui est en train de se passer. En gros, c’est une forme de fuite. Une tentative de garder pied, de garder la main, de rester aux commandes alors même que l’expérience nous invite à tout l’inverse.

Et ça, c’est valable dans toutes les formes d’expériences modifiées de conscience : psychédéliques, empathogènes, dissociatives… À partir du moment où tu rentres dans un espace où l’ego peut se dissoudre, résister à cette dissolution, c’est comme résister à ton âme, à ton être le plus profond. C’est vouloir empêcher un processus de se faire, alors qu’il ne cherche qu’à t’emmener vers une vérité plus vaste que toi.

Mais attention : ne pas résister, ça ne veut pas dire tout céder à l’ego non plus. Parce que lui aussi, dans ces moments-là, il se tord dans tous les sens. Il va chercher mille façons détournées de fuir l’expérience, sans en avoir l’air. Il va inventer des histoires, te ramener dans des pensées, des peurs, des envies, juste pour ne pas lâcher.

Et c’est normal. C’est naturel de vouloir résister quand on sent qu’on part dans quelque chose de gigantesque, de vertigineux, d’imprévisible. Une intensité folle, pour laquelle, honnêtement, personne n’est jamais vraiment prêt. Mais il faut comprendre une chose essentielle : la résistance, si elle prend trop de place, peut bloquer totalement les processus de libération, de mort de l’ego, de renaissance.

Pourquoi ? Parce qu’elle s’accroche au connu, au passé, à l’identité, au mental. Or, ces expériences-là sont justement là pour te libérer de l’attachement, de l’identification, du contrôle.

Et tout commence par là : reconnaître la résistance. L’observer et la ressentir. Et doucement, sans forcer, commencer à la lâcher.

L’égo et ses stratégies de survie

On va maintenant plonger au cœur de l’ego, et à tout ce qu’il met en place pour survivre à ce moment si particulier qu’est la mort de l’ego.

Il faut bien comprendre que, quand le processus commence, l’ego se sent menacé. Et comme tout ce qui veut survivre, il va se défendre. Il va dégainer ses mécanismes habituels : il va vouloir étiqueter, comprendre, contrôler, donner du sens à tout prix. C’est sa manière de résister, et c’est aussi sa manière de rester vivant.

Cette réaction vient de la peur, d’un mécanisme de survie pur. Et même si tout ça se passe au départ dans le cerveau, par une action chimique, l’effet est très concret dans la psyché. On le vit comme une alerte, une tension, une envie de reprendre le contrôle. Parce que l’ego sent que son territoire est en train de s’effondrer.

Et dans ces moments-là, la clef, c’est de passer au-delà du moi, du je, et de commencer à se désidentifier de cette petite voix qui croit qu’elle est nous. De voir que ce qu’on appelle “moi” n’est qu’un masque, un programme, une construction mentale. Et que ce qui se trouve derrière est beaucoup plus vaste, c’est notre essence la plus profonde au-delà de tout.

Je me rappelle d’un trip où j’ai justement accepté de complètement lâcher prise. J’ai pu plonger en moi sans retenue, et à ce moment-là, j’ai vraiment senti chaque cellule de mon corps vibrer, comme si j’étais emporté dans une dimension que mon identité n’aurait jamais pu atteindre. C’était profond, organique, presque cosmique. Et surtout, c’était au-delà de tout ce que le mental aurait pu comprendre ou ne serait-ce qu’imaginer.

Mais l’ego ne se contente pas de lutter frontalement. Il est malin. Il sait se déguiser.

Et parfois, il ne va pas résister avec force, il va le faire en douce. C’est là que c’est encore plus subtil. Il va te souffler à l’oreille : “Tu devrais peut-être manger un truc”, “Tu pourrais envoyer un message à quelqu’un…”
En apparence, ce n’est pas de la peur. Mais au fond, c’est juste une autre façon de fuir.

Parce que l’ego déteste plonger, il déteste aller au fond. Il sait que plus tu vas profond, plus il s’efface. Et donc il fait tout pour te distraire, pour t’occuper, pour te détourner de ce moment où tu pourrais vraiment t’abandonner.

Il faut le voir. Il faut le reconnaître. Parce qu’à partir du moment où tu reconnais la voix de l’ego, elle commence déjà à perdre son pouvoir.

Ne pas céder non plus au désir

Il faut aussi parler de la libération du désir. Parce que oui, le désir peut aussi devenir un piège sur le chemin intérieur.

Il faut comprendre que le désir, dans sa nature la plus profonde, c’est le mouvement inconscient de l’esprit qui nous pousse sans cesse à vouloir ce qu’on n’a pas… et à rejeter ce qu’on a déjà. C’est une mécanique automatique, presque invisible, mais qui agit comme une tension permanente, une course sans fin. Et cette tension-là, même si elle semble douce, même si elle paraît “spirituelle”, peut bloquer l’accès à l’âme.

Parce que dans l’état de grâce, il n’y a rien à obtenir, il faut juste être.

Et bien sûr, on peut avoir des désirs qui ne paraissent pas mauvais : le désir de comprendre, de vivre quelque chose, de briser ses chaînes… Il faut comprendre que même ces élans-là, aussi sincères qu’ils soient, sont des formes de désir. Et pour que la vraie transformation ait lieu, la flamme du désir doit mourir.

Quand la flamme du désir s’éteint, alors une autre flamme peut naître. Une flamme immense, solaire, brûlante de vérité. Pas celle du manque, pas celle de l’attente. Mais celle de l’amour véritable, celle de l’âme, celle qui ne cherche rien parce qu’elle est tout et c’est ça, l’éveil.

L’éveil, le vrai, ne peut pas être désiré. Il ne peut pas être cherché, ni même espéré. Parce qu’il n’est pas un but. Il est ce qu’on est, déjà, au fond de nous. Et tout ce qui essaye de l’atteindre nous en éloigne.

Je me rappelle très bien d’une expérience où je voyais la flamme du désir en moi, encore présente. Je sentais qu’elle voulait comprendre, qu’elle voulait aller vers quelque chose. Mais je savais que je devais lâcher prise, la laisser mourir. Et en me laissant un peu m’éteindre, un peu mourir, j’ai pu plonger dans quelque chose de tellement plus vaste, tellement plus vivant. Un espace d’intensité et d’amour au-delà du désir. Une chaleur qui ne consomme rien, parce qu’elle embrasse tout.

Le moment du passage : la mort de l’ego

La mort de l’ego, dans un trip et particulièrement sous psychédéliques, c’est ce qui arrive quand on accepte de lâcher totalement. Quand on cesse de lutter, quand on laisse tomber les défenses une à une… et qu’on regarde droit dans les yeux ce qu’on essaie d’éviter depuis toujours.

Et ce qu’on voit à ce moment-là, c’est la mort.

Pas la mort symbolique, pas une idée abstraite. La vraie mort. Du moins, elle est ressentie comme réelle, comme imminente. Et c’est cette intensité, cette certitude, qui rend le moment aussi effrayant. Parce que sur l’instant, tout en toi croit que tu es en train de mourir. Et ce n’est pas une idée dans un coin de la tête. Sur le moment, on est convaincu de ce qu’on vit.

Il faut un courage fou pour se laisser traverser par ça. Parce que ton instinct, lui, hurle. Il veut rester. Il veut survivre. Il veut fuir. Et pourtant, il faut lâcher. Lâcher, même si ton corps tremble. Même si ta respiration se bloque. Même si ton cœur cogne comme si t’allais exploser.

Et ce lâcher-prise-là, c’est pas facile. On le dit souvent comme une formule spirituelle, mais en vérité, dans l’expérience, c’est violent, déroutant, presque impossible à faire volontairement. Et pourtant, c’est la clef.

Parce qu’au moment où l’ego tombe, il ne reste plus rien à quoi s’accrocher. Et c’est là que quelque chose d’autre peut naître. Ce n’est pas juste un pic d’euphorie, une montée de sensation, un shoot d’extase. C’est un basculement. Un changement irréversible. Une renaissance.

C’est justement depuis ma propre Renaissance que j’ai voulu la partager à tous les initiés avec mon Guide de Mort Renaissance qui aide à se libérer de la résistance durant la mort de l’ego.

Quand l’ego disparaît, ce qui reste, c’est ton être profond. Ton âme. La conscience nue. Cette chose en toi qui a toujours été là, mais qui était enfoui sous des couches et des couches de “je”, de contrôle, de pensée.

Personnellement,quand j’ai vécu la mort de l’ego, c’était sous Candy Flip en 2017 . Et je m’en souviens encore comme si c’était hier. Je me suis retrouvé face à la mort, sans défense. Et à ce moment-là, j’ai senti monter un courage que je ne connaissais pas. La source m’a donné l’occasion de voir l’envers du décor en plongeant en elle en acceptant la mort. Et j’ai plongé. C’est la meilleure décision que j’ai prise de toute ma vie et depuis je n’écoute jamais la peur.

Ce que j’ai trouvé de l’autre côté, c’était un amour universel, absolu, une lumière infinie, qui ne venait pas d’ailleurs que du plus profond de moi-même. Et qui s’est étendue. Qui a traversé mon corps, puis mon champ de conscience, puis l’univers entier. C’était comme si tout vibrait dans la même pulsation.

Mais avant ça, j’ai traversé le vide. J’ai vu la peur d’être seul au monde, la peur de disparaître dans le néant, la terreur de ne plus jamais revenir. Et c’est là, justement, que tout s’est joué, au moment où j’ai tout lâché, c’est là que j’ai basculé dans la transcendance. Dans quelque chose d’infini. Ce moment-là m’a marqué à vie. Il m’a montré qu’il y avait en nous une porte insoupçonnée que peu osent dépasser, mais qui, une fois franchie, change tout pour toujours.

Accueillir l’amour et le divin sans s’y attacher

Quand on va dans l’amour divin, on parle de l’âme. Pas l’âme comme un concept, pas comme une idée spirituelle abstraite, mais comme ce qu’il y a au-delà de l’ego, quand il s’est effacé, quand tout ce qui restait à défendre est tombé.

Et ce qu’on trouve là, c’est l’amour infini. L’unité. Ce qu’on peut appeler le divin, même si aucun mot ne suffit.

Quand on accède à cette extase sereine, cette paix brûlante, cet état où tout est un et tout est parfait… il faut comprendre quelque chose de fondamental : il ne faut pas essayer de s’y accrocher.

L’ego, même après sa mort apparente, peut revenir sous une forme subtile, presque invisible, et tenter de s’emparer de cette expérience mystique. De l’attraper, de la garder, de la transformer en trophée intérieur. Mais cette expérience-là, elle ne se garde pas. Elle se traverse. Elle s’incarne. Elle s’oublie même parfois, pour mieux laisser sa trace au fond du cœur.

Et c’est là, encore une fois, qu’on retrouve la même invitation : ne pas résister.

Parce que l’amour véritable, celui dont on parle ici, n’est pas quelque chose qui vient de l’extérieur. Ce n’est pas une énergie qui arrive de l’extérieur pour venir nous combler. Non. C’est quelque chose qui naît en nous. C’est quelque chose qu’on découvre comme étant nous, au plus profond.

Et cet amour, il coule. Comme un fleuve. Un torrent. Il ne faut pas chercher à le contenir, ni à le figer. Il ne faut pas dire “ça y est, je l’ai”, parce que dès que tu fais ça, tu sors déjà de l’expérience. Leary explique bien en détail dans son livre comment ne pas tomber dans ce piège de la possession.

Il faut laisser cette lumière nous traverser, et même nous dissoudre si elle le veut. Parce que c’est dans cette dissolution que quelque chose d’encore plus profond peut s’ancrer.

Au final l’intégration c’est ça : laisser l’expérience vivre en nous, sans attachement, sans forme.

Et dans cette fluidité, dans cette danse cosmique de la source éternelle, l’amour devient réel.

Accepter de lâcher la résistance pour se laisser couler dans l’infini

Il faut comprendre que dans ce genre d’expérience, que ce soit sous LSD ou n’importe quelle substance qui ouvre des portes intérieures, il vient toujours un moment où il faut lâcher.
Pas lâcher juste dans la tête. Lâcher dans le corps. Dans l’âme. Dans l’identité.
Et ça veut dire quoi, concrètement ? Ça veut dire accepter de ne plus lutter contre la solitude, contre le vide et la perte de repères. Accepter de perdre jusqu’à son propre nom.

Je me rappelle très bien d’un trip en particulier, où j’étais à 150 microgrammes de LSD. On était dans une piscine, et à un moment, l’expérience a commencé à m’embarquer. Je me sentais partir dans quelque chose d’intense, mais il y avait quelque chose en moi qui ne voulait pas lâcher. J’ai senti l’ego se dissoudre et je me suis agrippé au bord de la piscine, physiquement, comme si c’était la seule chose réelle. Et j’ai commencé à répéter mon prénom, mon âge, encore et encore, “Tu t’appelles Ali, tu as 19 ans…”, pour rester ancré dans quelque chose de connu.
Aujourd’hui avec le recul, je comprends que c’est cette résistance-là qui m’a empêché de plonger vraiment vers mon âme. Peut-être n’étais-je pas encore prêt, qui sait ?

Parce que le lâcher-prise, la non-résistance, c’est aussi dans le corps.
Il faut que le corps lâche, que tous les muscles se détendent, que les mains cessent de se contracter, que la mâchoire, le ventre, les jambes, se relâchent.
Comme le dit Stanislav Grof, l’un des pionniers de la psychothérapie psychédélique :

“La relaxation somatique est une condition essentielle pour accéder à l’expérience transcendantale.”

Et c’est vrai. Quand le corps résiste, l’esprit ne peut se libérer de sa forme solide. Mais quand le corps se relâche, une porte s’ouvre.

Dans ces moments-là, poser ses mains sur son ventre, sur son cœur, respirer lentement, c’est un geste de recentrage. C’est un rappel qu’on est encore là, dans ce corps, que tout va bien. C’est une manière de créer une sécurité intérieure pour laisser l’âme s’ouvrir.

Et puis vient le saut.

Ce saut, c’est celui qu’on fait sans savoir où on tombe. Comme dans un rêve.
Un rêve où tu chutes à l’infini, mais où tu ne heurtes jamais le sol.
C’est exactement ça. Ce moment où tu acceptes de tout lâcher, de ne plus rien vouloir, de ne pas comprendre, de ne pas diriger, de ne rien retenir.
Et là, tu te laisses couler dans l’infini.

Ce n’est ni un gouffre ni un piège.
C’est ta vraie nature au fond de ton âme.
C’est là où il n’y a plus d’ego, plus de nom, plus d’histoire personnelle.
Juste ce que tu es au-delà de toute forme, ce que tu étais avant de naître, ce que tu seras après la mort.
Comprenez que l’univers ne vous heurtera pas, il n’est pas là pour vous briser. Il n’est pas votre ennemi.
Vous faites partie de lui. Et quand vous lâchez tout, quand vous tombez, vous ne tombez pas dans le vide, vous retournez à la source.
Vous rejoignez la danse éternelle, le courant cosmique qui vous porte depuis toujours.

Mais pour que ça arrive, il faut renoncer à savoir ce qu’on vit.
Il faut oser être vulnérable, nu, perdu, seul même parfois, sans carte ni boussole.
Et dans cet abandon total, quelque chose s’ouvre. Une lumière, une chaleur, un silence.
Quelque chose qui ne peut pas être expliqué, seulement vécu.

Alors oui, accepter de lâcher la résistance, c’est mourir un peu. Mais ça implique aussi de renaître complètement.
Et dans ce courant-là, il n’y a rien à faire. Juste se laisser couler.

Commencer à vivre, c’est arrêter de résister

Il y a un trip en particulier qui m’a marqué. C’était sous 2C-E et 4-HO-MET, et ce que j’ai traversé ce jour-là est encore gravé en moi.

J’ai dû lâcher prise sur quelque chose que je n’avais jamais vraiment osé regarder en face : la possibilité de perdre un jour ceux que j’aime. Mes proches. Ma famille. Les gens qui comptent pour moi. Et à ce moment-là, il y a eu une bascule.
J’ai compris que tant que je résistais à cette réalité, à cette vérité fondamentale de la vie, je vivais à moitié. Je me protégeais. Je fuyais. Mais je ne vivais pas pleinement.

Et c’est là que c’est venu, profondément, comme une évidence que je n’oublierai jamais :

“ On ne commence à vivre que quand on arrête de réagir.
Tant qu’on résiste, tant qu’on réagit, tant qu’on lutte, on empêche la vie de circuler en nous.”

Il y a une énergie cosmique, divine, qui vient vers nous en permanence. C’est comme un fleuve lumineux, une vibration infinie qui essaye, à chaque instant, de nous transmettre ce dont on a vraiment besoin.
Mais c’est nous, à travers l’ego, qui dressons des murs.
C’est nous qui bloquons et créons notre propre souffrance, simplement parce qu’on ne veut pas recevoir.

Et quand on lâche cette résistance-là, c’est un sacrifice.
Oui. Un sacrifice de l’ego.
Mais ce qu’on reçoit en échange, ce que l’âme nous offre, c’est incomparable.
C’est doux, silencieux, profond et infini et surtout, c’est notre vraie nature.

Alors si je devais vous laisser avec une chose, ce serait ça :
Du plus profond du cœur, je vous invite à commencer à vous observer. À voir où se cache la résistance que ce soit dans le corps ou dans les pensées et à vous en défaire.

Que ce soit au quotidien ou pendant un trip, c’est possible. 

Vous verrez qu’au fil du temps, une sérénité nouvelle s’installera, une paix tranquille, vivante.
Quelque chose qui ne dépend plus de rien, parce qu’elle vient de l’intérieur.

Et c’est vraiment là, que la vie commence. La résistance n’est qu’une vaine illusion.

Nuit | Blogueur communautaire chez Chemical Collective | youtube.com/c/nuit

Nuit est l’un des blogueurs de notre communauté ici chez Chemical Collective. Si vous souhaitez rejoindre notre équipe de blogueurs et être payé pour écrire sur des sujets qui vous passionnent, veuillez contacter Sam par e-mail à samwoolfe@gmail.com

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