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NBOMe, une famille de psychédéliques dangereux

nuit

By Nuit

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in this article
  • Origines chimiques et naissance des NBOMe
  • Une arrivée en discrète dans le monde des RC
  • Déguisé en LSD : la supercherie mortelle
  • Les effets
  • Dangers physiologiques et psychiques
  • Problème de dosage et complications par les mélanges
  • Réception sociale, désinformation et rejet dans les cercles psychédéliques
  • Les leçons à tirer
  • Mon message de fin
nuit

By Nuit

Disclaimer: The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the official policy or position of the Chemical Collective or any associated parties.

Imagine. T’es en soirée. Bonne ambiance, bonne musique, tu te dis que tu vas te prendre un petit buvard d’acide, histoire d’aiguiser les perceptions, d’ouvrir les portes. Le truc semble clean, pas d’odeur bizarre, tout va bien. Tu le poses sous la langue comme d’habitude, le goût est étrange mais tu n’y fais pas trop attention, tu rigoles avec tes potes, tu sens les premières vagues monter…

Puis quelque chose cloche. Ce n’est pas comme d’habitude. Ton cœur s’emballe, ton corps devient raide, l’énergie est étrange, trop rapide, trop stimulante. Les visuels sont là, mais ça pique les yeux. Tu sues, tu trembles. Tu penses avoir pris du LSD, mais tu viens de t’envoyer un NBOMe, et t’en as pris trop.

C’est l’un des nombreux pièges de cette molécule aux allures d’acide bon marché, mais au potentiel destructeur. Pendant des années, elle a circulé discrètement dans les cercles psychédéliques, souvent déguisée en LSD, vendue sur des timbres identiques, à des prix cassés. Beaucoup l’ont consommée sans même savoir ce que c’était. Certains ont fini à l’hôpital. D’autres ne s’en sont jamais relevés.

Dans cet article, encore plus profondément que dans ma vidéo sur le sujet, on va plonger dans l’univers trouble des NBOMe, explorer leur origine, leur histoire, leur effet, et surtout leurs dangers. Ce n’est pas une incitation, c’est un avertissement. Parce qu’à l’époque des Drogues Légales – Research Chemicals en libre circulation, connaître ce qu’on prend est une question de vie ou de mort.

Origines chimiques et naissance des NBOMe

Les NBOMe sont apparus récemment sur la scène psychédélique, mais leur origine est bien plus ancienne. Pour comprendre leur structure, il faut remonter aux travaux d’Alexander Shulgin, chimiste légendaire des années 70-90, qui a exploré les phénéthylamines sous toutes leurs formes, notamment la fameuse famille des 2C-x (2C-B, 2C-I, 2C-E, etc.). Ces molécules avaient déjà une action psychédélique marquée, souvent colorée, énergique, et relativement courte.

Puis au début des années 2000, un certain Ralf Heim, un chimiste allemand, modifie certaines de ces 2C pour y ajouter un groupement méthoxybenzyle (le fameux NBOMe). Ce petit ajout change tout. La molécule devient ultra-puissante, et surtout, elle devient active à des doses infimes, on parle ici de microgrammes, comme le LSD, mais avec une marge de sécurité bien plus réduite.

Chimiquement, un NBOMe est une phénéthylamine substituée, exactement comme le 2C-B ou le 2C-I, mais greffée d’un bras supplémentaire, ce qui améliore sa capacité à se fixer avec force sur les récepteurs 5-HT2A, ceux-là mêmes que le LSD et la psilocybine ciblent. Cette affinité extrême explique pourquoi ces molécules sont si puissantes, mais aussi pourquoi elles présentent un risque mortel.

Mais il y a un autre aspect important : les NBOMe ne sont pas actifs par voie orale, contrairement à la plupart des psychédéliques. Ils doivent être placés sous la langue ou dans la joue, là où les muqueuses permettent l’absorption. Je ne vous raconte pas le gout dégueulasse qu’on a dans la bouche pendant 20 minutes et on ne peut même pas avaler sa salive goût metal. Avaler un buvard ne fait rien du tout. Mais bien absorbé, un seul timbre de 800 microgrammes peut suffire à déclencher un trip fulgurant, voire un épisode d’urgence médicale.

Enfin, les NBOMe ont une structure proche des amphétamines, ce qui explique leur stimulation parfois extrême, leurs effets cardiovasculaires, leur énergie brute et leur côté “speedé”. On peut dire au vu de leurs effets que sont des psychédéliques amphétaminiques, un cocktail explosif entre visuels hallucinogènes, tension corporelle et excitation nerveuse. 

Une arrivée en discrète dans le monde des RC

Les NBOMe sont arrivés sans faire trop de bruit, comme un invité discret dans une soirée déjà bien remplie. C’était le début des années 2010, l’époque dorée des Research Chemicals, ces nouvelles molécules synthétiques balancées sur le marché sans études sérieuses, sans recul, mais avec un accès facile sur Internet. Des labos chinois et européens les produisaient à la chaîne. Et le NBOMe, lui, avait tout pour séduire les vendeurs : puissant, rentable, légal.

Le truc, c’est qu’il coûtait dix fois moins cher que du LSD à produire. On parle ici de quelques centimes par buvard. Mais en surface, rien ne trahissait la supercherie : c’est un petit carré de papier, souvent avec un joli motif, parfois des fractales, des dessins mignons, tout ce qu’il faut pour rappeler les buvards d’acide classiques. Pour un œil non averti, impossible de faire la différence. Et pourtant, ce n’était pas du LSD. C’était autre chose. Quelque chose de beaucoup plus risqué.

Et comme il n’était pas encore interdit, les vendeurs se frottaient les mains. Pas besoin de cacher les stocks, pas de peur de perquisition, tout passait crème sous l’étiquette de “produit de laboratoire non destiné à la consommation humaine”. Autrement dit : tout était en place pour que le NBOMe inonde le marché, et c’est exactement ce qui s’est passé.

Déguisé en LSD : la supercherie mortelle

Vendre du NBOMe pour du LSD, c’était simple. Trop simple. C’est exactement ce qu’ont fait des centaines de dealers, en ligne comme dans la rue. Tu commandes 100 buvards à moins d’un euro la pièce, et tu les vends à 10 ou 15 balles comme de l’acide. Le client n’y voit que du feu. Le goût amer ? Personne ne t’en parle. Et même si tu le remarques, qui t’a appris que ça peut être le signe que tu es en danger ?

Alors que le LSD est presque neutre en goût, le NBOMe a un goût amer, métallique, désagréable. C’est d’ailleurs de là que vient cette expression anglaise, qu’on devrait tous avoir en tête :

“If it’s bitter, it’s a spitter.”

Si c’est vraiment amer, tu craches. Tout de suite.

Ce simple réflexe a probablement sauvé des vies ou évité d’énormes bad.

Le vrai danger, c’est que le NBOMe est actif à des doses microscopiques, mais avec une marge de sécurité ultra faible. Là où tu peux prendre plusieurs buvards de LSD (même si c’est pas malin), tu fais ça avec du NBOMe et tu peux littéralement crever. Il y a eu des cas documentés de personnes mortes après quelques buvards.

Et c’est comme ça qu’on a vu les premiers articles alarmistes débarquer dans les médias. “Des jeunes meurent après avoir pris du LSD.” Panique. Sauf que… ce n’était pas du LSD. C’était du NBOMe. Et ça change tout. Le LSD n’a jamais tué directement par overdose. C’est un fait. Même ceux qui ont pris l’équivalent de 100,000 microgrammes s’en sont sortis. Je compte d’ailleurs faire un article bientôt sur les doses incroyablement élevées de psychédélique comme dans ma vidéo sur le sujet. Pas toujours en pleine forme mentale, certes, mais vivants.

Avec le NBOMe, c’est une toute autre histoire.

Et pour compliquer encore le tableau : le NBOMe n’est actif que par voie sublinguale ou buccale. Si tu l’avales directement, il ne se passe souvent rien.

 Contrairement au LSD qui est actif aussi bien par voie orale que sublinguale, le NBOMe a besoin de la muqueuse pour entrer dans le système. Alors, une astuce toute simple si tu as un doute : avale le buvard directement. Si c’est du LSD, tu triperas. Si c’est du NBOMe… tu auras juste un goût dégueu, et peut-être une chance d’éviter un aller simple vers un bad trip ou pire.

Mais tout ça, les jeunes qui prenaient ces buvards à l’époque ne le savaient pas. Et certains ne sont jamais revenus pour le raconter.

Les effets

À première vue, le NBOMe a tout d’un psychédélique classique : couleurs vives, perceptions déformées, pensées qui partent en spirale. Mais très vite, tu te rends compte que ça ne joue pas dans la même cour que le LSD, ni même les 2C-x. Derrière les visuels fascinants se cache une stimulation nerveuse bien plus brutale, un bodyload lourd à porter, et une tension physique qui te rappelle que cette molécule est aussi une sorte d’amphétamine déguisée.

Les visuels, c’est vrai, sont là. Intenses, détaillés, parfois magnifiques avec des formes géométriques, des textures qui ondulent, des objets qui respirent. Mais il y a un côté trop fort, trop saturé, comme si quelqu’un avait poussé tous les curseurs à fond. Tu regardes un mur et il semble hurler de lumière. Ça pique les yeux. Et pendant ce temps, ton cœur tape, ton ventre se serre, ton corps ne tient pas en place.

La stimulation est telle qu’on pourrait décrire l’effet comme du LSD mélangé à du speed, ou même à de la méthamphétamine. Une sorte de psychédélique sous tension, où tu tripes et tu es sur-stimulé en même temps. Il y a cette électricité dans le corps, cette espèce de fourmillement nerveux permanent qui rend difficile de s’ancrer. Et c’est là que le bodyload devient un vrai problème.

Certains ressentent des crampes, d’autres une vasoconstriction si sévère que les extrémités deviennent douloureuses, engourdies. Le sang circule mal. Ça serre, ça oppresse. Là où le LSD reste relativement “léger” sur le plan physique, les NBOMe peuvent littéralement te mettre dans un état invivable juste avec les effets corporels. Et ce, parfois à des doses qu’on pensait “légères”.

Perso, mes premiers tests, c’était soft : 200 microgrammes de 25C-NBOMe, on tend vers la microdose. Une sorte de petit éclair psychédélique, plutôt stimulant, un peu étrange mais pas désagréable. Rien d’alarmant. Je me suis dit, “OK, c’est différent, mais intéressant.” C’est quand j’ai pris une dose que je pensais medium mais qui était en fait lourde, 800 microgrammes que tout a basculé.

J’étais seul, sous un effet qui montait vite, et mal. Le corps qui se crispe, le mental qui se fissure. Une montée anxiogène, presque délirante, comme si chaque pensée ouvrait une trappe vers le néant. Et j’ai craqué. Littéralement. À un moment, je me suis levé, et j’ai donné un coup de boule dans un mur. Pas par rage, mais par besoin de revenir quelque part, de sentir la matière. C’était pas une montée spirituelle, c’était une descente en spirale.

Et pour aggraver le tout, j’ai eu la mauvaise idée de mélanger ça au cannabis. Erreur de débutant, sauf que j’avais déjà l’expérience. Mais le cannabis, avec ce genre de molécule, peut faire exploser l’anxiété. Je suis parti en boucle, totalement parano , comme enfermé dans mon propre corps. Je ressentais de la douleur à une intensité horrible. Le NBOMe amplifie chaque micro-tension, et le mélange avec un psychoactif aussi complexe que le THC, c’est comme verser de l’huile sur une plaque en feu.

Le plus dur à expliquer, c’est ce sentiment d’être à la fois en plein trip visuel et en train de perdre la raison. Comme si le cerveau ne savait plus dans quelle direction aller. Et c’est ça le problème : ce n’est pas seulement un trip “intense” ou “trop fort”. C’est un état déséquilibré, psychotique, épuisant, qui peut te laisser secoué pendant des mois

Je me suis personnellement senti vraiment déstabilisé pendant des semaines après cette expérience, alors qu’avant même de gros trip psychédélique plus puissant ne m’ont pas mis aussi mal. En prenant du recul je me rends compte comment ca a ouvert la porte à une période assez sombre de ma vie, comme quoi tout peut aller bien, il suffit d’une erreur pour se rendre compte à quel point on est vulnérable et que la vie est précieuse.

Dangers physiologiques et psychiques

Contrairement à la plupart des autres psychédéliques, il y a une toxicité réelle. Les NBOMe sont hautement cardiotoxiques et neurotoxiques : des données in vitro montrent que des composés comme le 25C-NBOMe tuent des cellules neuronales plus vite que la méthamphétamine, et affectent aussi les cellules du cœur via une activation prolongée des récepteurs 5‑HT2B, possible cause de valvulopathies cardiaques à long terme. Non seulement le risque d’intoxication métabolique grave est réel, mais il y a aussi un risque élevé de syndrome sérotoninergique.

Cliniquement, des cas d’urgence étant rapportés incluent : tachycardie, hypertension, agitation, crises de convulsions, hyperpyrexie, clonus, voire insuffisance rénale. Ces effets peuvent surgir après à peine quelques milligrammes, l’équivalent de deux buvards à 1 mg peut suffire à provoquer un décès.

Il n’y a aucune valeur thérapeutique connue pour cette molécule. Pas de champ d’usage médical, pas de dose contrôlée, on a un rapport bénéfice/risque catastrophique. Et mélanger le NBOMe avec d’autres substances aggravantes, même « douces » comme la passiflore qui est un IMAO faible, peut être fatal.

Problème de dosage et complications par les mélanges

Le dosage des NBOMe est le suivant, le seuil de dose légère peut démarrer à 50 µg, les effets moyens se trouvent entre 250 et 500 ug,  mais dépasser 700–800 µg te propulse dans une zone “forte” où la marge d’erreur est subtile .

Ce dosage erratique a causé des dizaines de décès, surtout parce que les consommateurs pensaient prendre du LSD, ne faites pas confiance trop facilement…

Le NBOMe n’est pas actif par voie orale, contrairement au LSD, ce qui ajoute une confusion : avaler un buvard peut ne rien produire, alors que mis sous la langue, ce même buvard peut t’emmener en urgence médicale.

Réception sociale, désinformation et rejet dans les cercles psychédéliques

Dans les médias, les récits alarmistes ont vite circulé : jeunes morts après avoir pris du LSD. Problème : c’était souvent du NBOMe, vendu à leur insu. La confusion a nourri la peur, renforcé la stigmatisation des psychédéliques et amplifié cette guerre à la drogue qui n’a aucun fondement scientifique.

Dans les circuits psychédéliques, le NBOMe est aujourd’hui largement rejeté, pour plusieurs raisons :

Pas d’intérêt psychonautique : pas de voyage introspectif, pas de profondeur spirituelle.

Toxicité excessive : neurotoxique, cardiotoxique, marge de sécurité quasi nulle.

Confusion avec le LSD : fausse réputation, usage non informé.

Les leçons à tirer

Les NBOMe sont un exemple extrême de molécules méconnues, vendues comme autre chose, utilisées sans contrôle… et parfois mortelles.

Cet article n’est pas le moins du monde une invitation à expérimenter, mais un appel à la vigilance. Si tu prends un timbre inconnu sans savoir ce que c’est, tu peux très bien t’infliger un NBOMe au lieu de LSD, avec des conséquences bien réelles. En festival ou en soirée, pris chez un inconnu, tu prends un risque énorme.

Moi-même, j’ai déjà arnaqué des gens en festival : je vendais du sel à la place de la MDMA. Avoir une confiance aveugle en quelqu’un d’inconnu qui pense avec l’appât du gain est non seulement irresponsable mais en plus on se met soi-même et même les autres en danger.

Ce que je veux dire : éduque-toi, fais tester ton produit, vérifie les tests de pureté, ne te fie pas aux apparences. Respecte le set & setting. Si tu veux explorer, explore en pleine conscience.

Le NBOMe, c’est le rappel brutal : dans le monde des substances, connaître ce qu’on prend est une question de vie ou de mort.

Mon message de fin

Je vous le dis franchement : si vous n’avez jamais touché à un NBOMe, gardez cette distance. Il y a des dizaines de psychédéliques bien plus sûrs, plus intéressants, plus profonds, plus humains. Là on parle d’une molécule qui n’a rien de naturel, rien de rassurant, et qui, en plus d’être instable, est cardiotoxique, neurotoxique, et totalement imprévisible. C’est un peu comme jouer à la roulette russe avec son cerveau.

Quand j’y repense, ce qui m’a poussé à tester ces trucs-là à l’époque, ce n’était même pas une vraie curiosité psychonautique. J’avais juste quelques euros qui traînaient sur un vieux portefeuille crypto et j’ai cliqué. C’est aussi bête que ça. Je me suis dit que ça ferait un trip en plus à vivre. Et en réalité, j’ai mis ma santé mentale en jeu. Et pire encore : j’ai embarqué d’autres personnes là-dedans, sans mesurer à quel point le danger était réel.

Je garde un souvenir très clair du bad trip massif à 800 µg, qui m’a complètement retourné le cerveau. J’ai mis longtemps à m’en remettre. Je parle d’un état où tu ne sais plus qui tu es, où tu te sens pris au piège dans ta propre psychose, et où l’idée du suicide ou d’un geste irréversible commence à te traverser l’esprit. Pas parce que t’es déprimé, mais parce que t’es déconnecté de toute réalité. Et ça, ce n’est pas du tout ce que je cherchais dans un psychédélique.

Le plus vicieux avec les NBOMe, c’est que les petites doses peuvent sembler « gérables ». Tu prends 100 ou 200 microgrammes, ça passe, t’as des visuels, un peu de stimulation, t’as l’impression que tu contrôles. Alors tu reprends confiance. Et c’est là que l’accident arrive. Parce que tu décides de monter à 700 ou 800, et que le seuil toxique est tout proche de la dose active. Il suffit d’un buvard mal dosé ou d’un moment d’inattention pour que tout bascule.

Donc, si malgré tout ça, il y en a parmi vous qui sont décidés à essayer, je vous en conjure : faites-le avec un maximum de précautions. Pas « un peu de prudence », non. Un protocole béton. Commencez par une dose ultra-légère. Testez toujours vos buvards avec un réactif chimique fiable. N’avalez jamais un buvard d’origine inconnue. Méfiez-vous du goût : les NBOMe sont amers, alors que le LSD pur ne l’est pas. Et surtout : ayez un tripsitter sobre et compétent à côté, avec des trip-killers à portée de main (benzodiazépines…). Ce n’est pas une option. C’est une nécessité vitale.

Je sais que la curiosité est forte. Mais ce n’est pas parce qu’un produit est en vente quelque part qu’il est safe. Ce n’est pas une expérience anodine, c’est un risque énorme. Et franchement, il y a des substances qui valent bien plus la peine que celle-ci. Des portes à ouvrir sans risquer de tomber dans l’escalier.

Prenez soin de vous, prenez soin des autres. C’est vraiment pas un jeu. On ne se rend pas toujours compte de la gravité de nos actes et des risques que l’on prend, surtout quand on est jeune et insouciant, pourtant une erreure qui semble minime à un moment peut au final créer un effet boule de neige et rendre votre vie complètement invivable, soyez conscient, soyez vigilants.

Nuit | Blogueur communautaire chez Chemical Collective | youtube.com/c/nuit

Nuit est l’un des blogueurs de notre communauté ici chez Chemical Collective. Si vous souhaitez rejoindre notre équipe de blogueurs et être payé pour écrire sur des sujets qui vous passionnent, veuillez contacter Sam par e-mail à samwoolfe@gmail.com

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Escubedo
3 months ago

C’est fou comme quoi j’ai eu beaucoup de chance moi, c’était il y a 14 ans je m’en rappel comme si c’était hier, on m’a vendu ça comme un analogue a de la mesca synthé, un bon trip psyché quoi, au final j’ai pris 2x 225 en sublingual et ça a été un des trips les plus oufs, devant un super mur de son avec des amis qui venaient me donner à boire et me proposer des oreilles attentives et des bras dans lesquelles reprendre de l’énergie, mais je me rend compte a quel point j’ai eu de la chance en fait ! Tout a été nickel pour moi vraiment un trip qui pour moi m’a apporté beaucoup, mais comme je le lis aurait pu dans un autre contexte et sans mes amis et la bienveillance de toutes les belles âmes avec moi aurait pu être bien moins constructif ! Perso c’était du 25c Nbom, mais j’ai du vraiment avoir de la chance, donc suivez les conseils toujours des amis bienveillants, et si ça va pas n’hésitez pas à en parler et a alerter, après ne déconnez pas sur les quantités, moi déjà le 2eme 225mc n’était pas prévu mais heureusement tout a bien été, difficile de nos jours de savoir a quoi l’on se frotte, stay safe and take Care, un max de love sur tout le monde, n’oubliez pas que vous êtes beau et plein de qualité de laissez pas les prods vous détruire, merci du post, je voulais partager ça avec vous, one love

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