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Le Cannabis Synthétique

nuit

By Nuit

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in this article
  • Origines et vagues d’explosion
  • Mécanismes pharmacologiques (explication scientifique, risques liés à la puissance et aux faibles doses)
  • Types, formes, dosages et timing
  • Mon expérience personnelle avec le cannabis synthétique
  • Mot de la fin
nuit

By Nuit

Disclaimer: The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the official policy or position of the Chemical Collective or any associated parties.

JWH-018, JWH-073, AM-2201, HU-210, CP-47,497, 5F-AKB-48 (aussi appelé APINACA), 5F-PB-22, AB-PINACA, AB-FUBINACA, XLR-11, PB-22, 5F-MDMB-PINACA… eh oui, tous ces noms barbares sont bien des cannabinoïdes synthétiques, des molécules conçues en laboratoire qui imitent (et parfois surpassent) l’action du THC sur les récepteurs cannabinoïdes du cerveau. 

Ces composés ne sont pas des « herbes » naturelles : ce sont des molécules de synthèse complexes souvent appliquées (pulvérisées) sur des végétaux inertes pour être fumées, ou conditionnées sous forme de poudres et de liquides pour vaporisation. Ils ont été commercialisés sous des marques accrocheuses, K2, Spice, et une myriade d’appellations « herbal incense »,  vendus en sachets, en e-liquides, ou mélangés à du cannabis apparent. Les vendeurs les étiquettent fréquemment « not for human consumption » pour se protéger légalement, mais en pratique ces produits sont destinés à la consommation récréative. 

Pourquoi ce phénomène s’est-il vraiment amplifié ? Plusieurs raisons simples et directes : ces substances sont peu coûteuses à produire, permettent de contourner certaines lois (les fabricants modifient légèrement la formule chimique pour échapper aux interdictions) et offrent souvent une puissance très supérieure à celle du THC naturel, ce qui attire des consommateurs cherchant un effet fort à moindre prix. Leur disponibilité en boutiques physiques et en ligne a aussi facilité la diffusion rapide de ces produits. 

J’ai déjà fait une vidéo sur le sujet mais j’ai voulu revenir sur ce sujet critique plus en profondeur. 

Origines et vagues d’explosion

Les cannabinoïdes synthétiques sont nés dans des recherches pharmacologiques et neuroscientifiques : des laboratoires ont synthétisé des analogues du THC pour étudier le système endocannabinoïde et pour développer des molécules à visée thérapeutique ou expérimentale. Rapidement, certaines de ces molécules ont été détournées vers un usage récréatif. 

La commercialisation massive date des années 2000 : à partir du début des années 2000 on voit apparaître sur les marchés des mélanges « Spice/K2 » contenant des agonistes synthétiques. Entre 2008 et 2014, de très nombreuses nouvelles variantes (des dizaines à centaines de composés différents) ont été signalées aux observatoires européens, ce qui a entraîné plusieurs vagues successives, interdiction d’une génération de molécules et puis l’apparition d’une nouvelle génération légèrement modifiée, etc. Les fabricants ont joué au chat et à la souris avec la loi en changeant la structure chimique pour rester légaux tant que la législation n’avait pas rattrapé la nouveauté.

Cette histoire explique aussi pourquoi aujourd’hui on parle de « générations » de cannabinoïdes synthétiques : la première génération (celle des JWH-xxx) a été suivie par des séries fluorées ou par des familles complètement différentes (indazole carboxamides, quinolinyl esters…) pour contourner les textes. Les conséquences pratiques : variabilité énorme de puissance, d’effets et de risques d’un lot à l’autre.

Mécanismes pharmacologiques (explication scientifique, risques liés à la puissance et aux faibles doses)

Les études montrent que les cannabinoïdes synthétiques agissent principalement en ciblant les mêmes récepteurs que le THC, les récepteurs cannabinoïdes CB1 (surtout dans le cerveau) et CB2 (surtout périphérique)  mais beaucoup d’entre eux sont des agonistes pleins (full agonists) du CB1, alors que le Δ9-THC ( le cannabis classique ) est un agoniste partiel. Cela signifie que, à récepteur égal, certains synthétiques peuvent produire une activation beaucoup plus forte et des effets biologiques plus intenses que le cannabis « naturel ».

En pratique cette différence pharmacologique explique pourquoi ces molécules sont souvent 2 à 100 fois (voire plus) plus puissantes que le THC dans des tests in vitro ou animaux, et pourquoi des effets sévères (tachycardie, hypertension, agitation, convulsions, psychose aiguë) ont été rapportés après des consommations qui paraissent « faibles » si on les compare en poids au cannabis standard.

Autre point critique : l’échelle de dose. Pour certaines familles modernes (par exemple des indazole-carboxamides comme AB-FUBINACA, MDMB-familles, etc.), l’effet psychoactif se situe à des niveaux de quelques milligrammes total de principe actif et dans des études contrôlées l’inhalation expérimentale a utilisé des protocoles où la dose effective était mesurée en microgrammes par kilo de poids corporel (ex. 75 μg/kg pour JWH-018 dans certains tests, soit ≈5 mg pour un adulte de ~70 kg quand on cumule booster/dose). Autrement dit, des différences de quelques milligrammes (voire centaines de microgrammes) peuvent changer radicalement l’intensité et la toxicité

Ces molécules ont aussi une variabilité pharmacocinétique et métabolique importante : certaines sont rapidement éliminées, d’autres donnent des métabolites actifs, et certaines modifications chimiques (une simple fluoration, substitution mineure) peuvent augmenter énormément l’affinité et l’efficacité au CB1, voilà pourquoi la moindre variation de « recette » dans un lot peut rendre un produit plusieurs fois plus puissant que le précédent. Cette instabilité chimique et l’absence de contrôle qualité expliquent l’imprévisibilité des effets chez l’humain. 

Enfin, sur le plan clinique, l’exposition à ces substances a été liée à des cas sévères et parfois mortels (intoxication, insuffisance rénale aiguë, crises convulsives, décès signalés dans plusieurs séries), ce qui illustre que la marge entre une « dose récréative » et une dose dangereuse est souvent très étroite. Les autorités de santé (CDC et autres revues médicales) ont documenté hospitalisations aiguës et décès en lien avec ces produits. 

Types, formes, dosages et timing

Formes & présentation

  • Poudres/cristaux : chimiquement, la molécule pure est souvent une poudre cristalline. C’est la forme « de base » qui est ensuite transformée.
  • Herbes imprégnées (« Spice », « K2 ») : la poudre est dissoute/diluée puis pulvérisée sur des plantes inertes (mélanges d’herbes) pour être fumée. Ces herbes peuvent être très concentrées si un excès de principe actif est appliqué.

Dosages et repères pratiques 

  • Dose active : variable selon la molécule — mais pour beaucoup de cannabis synthétiques modernes, on parle d’effets mesurables à l’échelle de quelques milligrammes de principe actif total appliqué sur l’herbe, et parfois d’effets détectables à des centaines de microgrammes si on parle de poudre pure. Cela signifie qu’un sachet d’herbes « classique » peut contenir l’équivalent de plusieurs milligrammes d’actif par dose inhalée si la matière végétale est fortement imprégnée.

Timing et durée des effets

  • La montée : souvent plus rapide que le cannabis standard, c’est une des manière de savoir si notre cannabis est coupé avec du cannabis de synthèse, le cannabis prend normalement quelques minutes pour que l’effet s’installe, avec le synthétique l’effet monte de manière quasi instantanée.
  • Durée : variable — certaines molécules provoquent un effet court et intense (15 minutes à 1 heure), les séries rapportées montrent une grande variabilité d’un composé à l’autre. Globalement, beaucoup d’utilisateurs et d’études rapportent un début plus rapide et la majorité du temps une durée plus courte mais un effet plus intense que du cannabis standard, avec des épisodes de crises aiguës qui peuvent durer plusieurs heures et nécessiter une prise en charge.

Effets indésirables & dépendance

  • Risques aigus : vomissements et hyperemesis, agitation, agressivité, tachycardie, hypertension, hyperthermie, crise convulsive, psychose aiguë, coma; des hospitalisations et des décès ont été rapportés.

Risques chroniques : les données restent incomplètes, mais les études et enquêtes cliniques montrent un potentiel de dépendance et de sevrage bien plus sévères que pour le cannabis riche en THC (tolérance rapide, symptômes de sevrage marqués). Plusieurs études cliniques et revues décrivent une dépendance plus rapide et des symptômes de sevrage plus intenses chez les usagers chroniques de ces substances.

Mon expérience personnelle avec le cannabis synthétique

Découverte et premier contact

J’ai découvert les cannabis synthétiques quand j’avais à peine dix-huit ans. À cette époque, je passais beaucoup de temps à lire sur les forums des informations sur les Research Chemicals, un peu fascinés par tout ce monde de molécules nouvelles dont on parlait comme de drogues « légales », pourtant il y a de grandes différences entre les différentes familles de substances que proposent ces sites, et il m’a fallu du temps pour le comprendre…

C’est comme ça que j’ai commandé mon premier sachet. Un petit sachet d’herbes sèches, d’apparence banale, mais avec cette mention mystérieuse : not for human consumption. C’était censé être quelque chose de très fort, je ne me rappelle plus du nom exact de la molécule qu’il contenait, je pense du 5F-AKB-48 mais je n’en suis plus très sûr.

Un soir à l’internat, je l’ai montré à mon voisin de chambre. Je lui ai dit :
« Regarde, c’est du cannabis synthétique, c’est super puissant. »

On en a mis une simple pincée dans un joint, littéralement quelques milligrammes. Rien à voir avec un vrai joint de weed.

Dès les premières bouffées, l’effet est tombé d’un coup. Une montée ultra rapide, sans transition. Mon voisin, lui, a tiré un peu plus que moi… et en quelques minutes, il a commencé à partir complètement. Il a eu un regard vide, puis s’est mis à donner des coups de tête dans le mur. Il répétait qu’il devait aller se calmer dans sa chambre, qu’il ne se sentait plus lui-même.

J’étais figé, entre la peur et la fascination. Je réalisais que ce truc n’avait rien à voir avec le cannabis que je connaissais. C’était brutal, incontrôlable, trop fort.

Premières prises et premières impressions

Les premières fois, j’étais partagé entre curiosité et inquiétude. L’effet était si intense que je pensais au début que c’était quelque chose d’extraordinaire, comme une version « boostée » du cannabis, une sorte de super THC.

Mais très vite, j’ai compris que ce n’était pas un plaisir stable. Le corps partait dans tous les sens, l’esprit se fragmentait, et la moindre bouffée de trop pouvait tourner au cauchemar.

La sensation était complètement différente du cannabis naturel : plus métallique, plus froide, sans chaleur, sans la douceur que peut avoir un joint classique. L’euphorie était trop stimulante et durait à peine quelques minutes avant de basculer vers quelque chose de dérangeant, d’anxiogène, presque toxique.

J’ai fini par ne plus vouloir y toucher. Mais il m’est arrivé, parce que je n’avais pas accès à du cannabis normal ou par curiosité, d’en refumer quelques fois, les soirs où je n’avais pas accès à du cannabis standard. À chaque fois, la même conclusion : c’était trop fort, trop instable, trop risqué et je regrettais.

Une fois, j’en ai même fumé pendant un trip psychédélique, pensant que ça amplifierait l’expérience. En réalité, ça a été un bad trip monumental : paranoïa, confusion, battements de cœur incontrôlables, cette impression d’être prisonnier d’une bulle toxique. Une expérience que je n’ai jamais oubliée.

L’incident critique qui m’a fait m’en éloigner : 

Je raconte cet incident dans ma vidéo.  À l’époque, je diluais souvent ce sachet de cannabis synthétique avec du damiana pour avoir sur mon quelque chose de « plus safe ». En gros, je mélangeais à grosse échelle : une petite quantité de ce mélange hyper-concentré dans beaucoup de damiana, vingt pour un, je dirais. Même comme ça, ça restait plus puissant que n’importe quel joint de weed classique que j’avais fumé.

Ce soir-là j’étais avec deux amis et j’avais laissé le sachet sur la table du salon, le sachet herbal « pur », celui que j’avais acheté, pas la version diluée. On était trois dans l’appartement. J’étais allé aux toilettes cinq minutes, pendant ce temps il y a  mon pote qui fouille, il n’avait plus rien pour rouler et plus de weed standard à fumer , il a pris le sachet, a bourré une pipe et l’a allumée. Je pense qu’il n’imaginait pas à quel point c’était concentré car il était habitué à la version diluée : la bouffée était grosse, directe.

Durant les vingt minutes qui ont suivi, j’ai cru que j’allais perdre mon ami. D’abord, les signes bizarres : les yeux qui se révulsent, ce regard qui n’est plus dedans. Il a commencé à vomir, tout en hurlant. Son visage est devenu violacé, comme si le sang ne circulait plus correctement. À un moment, on a cru qu’il ne respirait plus. Il était complètement désorienté, il ne pouvait pas parler, il haletait, il faisait des gestes incohérents. On paniquait. On a appelé les pompiers en criant, comme dans un mauvais film.

Je n’oublierai jamais la sensation d’impuissance en attendant les secours, surtout qu’il ne comprenait pas la situation et pensait que j’appelais pour un banal bad trip au cannabis. C’était long, interminable. Au bout de trente minutes, il a commencé à revenir doucement à lui. Les vomissements se sont calmés, il a retrouvé un souffle régulier et a finalement pu articuler quelques mots. On avait l’impression d’avoir frôlé quelque chose de bien plus grave. Au début, on ne pensait pas qu’il allait s’en sortir. On a parlé ensuite avec les secours : ils nous ont dit qu’on avait eu de la chance, que certains cas finissent mal quand la personne est plus petite ou vulnérable.

Et ça m’a frappé de plein fouet : si ce n’avait pas été lui, un grand gaillard baraqué,  mais mon autre amie qui était présente, qui est une fille de faible corpulence, si c’est elle qui avait pris la même pipe, on aurait peut-être eu un décès. Je n’exagère pas. La marge entre une dose qui envoie et une dose qui tue m’est apparue si mince que ça m’a fait basculer dans la culpabilité. J’ai pensé à ma responsabilité, à mon inconscience d’avoir laissé ce sachet accessible.

Depuis, je continue d’entendre et de lire un nombre incalculable de récits comparables : gens hospitalisés, insuffisances respiratoires, psychoses induites, gens qui ne s’en sortent pas. Ce soir-là, j’ai reçu une leçon que je n’oublierai pas : ces molécules, nous ne les connaissons pas, elles ne correspondent à aucun de nos repères et elles peuvent transformer des soirées banales en cauchemars.

Je ne peux pas annuler ce qui s’est passé mais je peux le dire. Pour que ceux qui sont amenés à le lire sachent que la curiosité ne couvre pas le risque de perdre la vie. Et que laisser traîner des sachets « mystérieux » dans la maison, c’est jouer à la roulette russe, surtout s’il y a des gens fragiles autour.

Processus d’addiction, tentatives d’arrêt et réflexions personnelles

J’ai eu la chance de ne pas tomber dans une consommation régulière. Après les premières expériences si négatives et l’épisode dramatique avec mon ami, je m’en suis éloigné, et je ne l’ai jamais refumé. Mais autour de moi, l’histoire n’a pas été la même pour tout le monde.

Beaucoup de proches, quand ils ont découvert ces produits, ont commencé à remplacer leur cannabis par ça. Au départ, c’est souvent une question d’accès et de prix : ces produits coûtent peu, se trouvent facilement, et promettent une sensation très puissante. Pour certains, la progression a été rapide. Ce n’est pas la même dépendance que pour le cannabis « classique » : la tolérance monte vite, la recherche d’effet devient obsessive, et le manque est brutal. Là où une absence de cannabis provoque surtout fatigue et irritabilité, le manque de ces molécules peut amener des crises intenses, agitation extrême, agressivité, comportements autodestructeurs, états proches de la psychose.

J’ai vu des groupes entiers fumer ce qu’ils croyaient être du hashish correct et se retrouver piégés parce que le produit avait été coupé avec du synthétique. Le résultat : des gens qui, en manque, tapaient dans les murs, perdaient contact avec la réalité, devenaient dangereux pour eux-mêmes et pour les autres. C’est terrifiant parce que beaucoup ne savent même pas qu’ils consomment un synthétique. Le mélange, la dilution, la revente frauduleuse de produits de cannabis de basse qualité très bon marché imbibé de ces substances synthétiques font que l’exposition involontaire est probablement très répandue.

Sur le plan des tentatives d’arrêt, j’ai vu que les symptômes de manque et la difficulté pour arrêter est bien plus forte qu’avec le cannabis normal de plus, les rechutes peuvent être dangereuses : une prise après période d’abstinence peut aboutir à une surdose parce que la concentration du produit est inconnue.

Ce que je retiens, et ce que je tiens à dire très clairement :

  • Ces produits ciblent souvent des personnes qui ont peu de moyens ou qui vivent dans des contextes où le cannabis régulier est difficile d’accès ;
  • Ils sont souvent vendus, coupés ou présentés de façon frauduleuse ;
  • Il est possible d’en faire une overdose dès la première prise.

Mes recommandations, simples et directes :

  1. Si votre cannabis « fait un effet étrange et inhabituel», faites-le analyser si vous en avez la possibilité.
  2. Méfiez-vous des offres trop bon marché et des vendeurs peu fiables.
  3. Ne consommez jamais seul un produit dont vous n’avez pas l’habitude, et évitez de partager une prise quand vous ne connaissez pas l’origine du produit.
  4. Commencez toujours par des doses infinitésimales si vous êtes curieux, mais sachez que même cela n’annule pas le risque d’une concentration extrême de produit.
  5. Si quelqu’un présente des signes sévères (difficulté à respirer, perte de conscience, convulsions, couleur anormale du visage), appelez les secours immédiatement.

Enfin, à ceux qui lisent et qui ont un ami ou un proche dans cette situation : faites preuve d’empathie, mais aussi de fermeté. Aidez-les à trouver de l’aide médicale ou psychologique. Ce n’est pas une question de jugement, c’est une question de survie. J’ai eu vent de nombreuses histoires de gens à qui ces substances ont complètement gâché la vie.

Mot de la fin

J’ai parlé dans cet article de ce que je connais, si je n’ai pas évoqué les cannabis semi-synthétique c’est que je n’ai pas d’expérience personnelle avec les semi-synthétiques comme le HHC (hexahydro cannabinol), le delta-8-THC, le THC-O (THC-O-acetate) ou le THCP, je les ai surtout vus passer dans des articles, des forums et des trip reports. D’après ce que j’ai lu et entendu, ces molécules semblent se comporter davantage comme du cannabis « classique » que les cannabinoïdes totalement synthétiques. Elles donnent parfois des effets proches du THC  mais attention : ça ne signifie pas « sans risque ». Je n’ai pas de recul personnel, donc je ne peux pas en parler en expert, seulement partager mon impression issue de recherches et de témoignages.

Ce que je retiens quand même, c’est que le véritable danger auquel j’ai été confronté, et que j’ai vu autour de moi, vient des cannabinoïdes synthétiques que ce soit celui en poudre ou celui appliqués sur des herbes ou encore pire ceux vendues comme du « cannabis ». Ceux-là, pour moi, n’ont aucun intérêt récréatif sain. Ils sont trop puissants, imprévisibles et parfois mortels. Après l’épisode avec mon ami, même les secours nous ont dit qu’il valait mieux consommer du cannabis normal que ce genre de produit dangereux .

Prenez soin de vous. Si quelque chose vous paraît « bizarre » dans de la weed ou du haschich dont vous n’avez pas l’habitude, soyez prudent. La curiosité ne vaut pas une vie en jeu.

Nuit | Blogueur communautaire chez Chemical Collective | youtube.com/c/nuit

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