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Sex et Substances psychotropes : un lien subtil

nuit

By Nuit

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in this article
  • Le set & setting , le partenaire
  • Les différentes substances et leurs dosages
  • Conclusion
nuit

By Nuit

Disclaimer: The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the official policy or position of the Chemical Collective or any associated parties.

La combinaison entre rapports sexuels et substances psychotropes est une pratique ancestrale, enracinée dans l’histoire de l’humanité depuis la nuit des temps. On la retrouve chez les Romains, les anciens Égyptiens, les pharaons, et très probablement bien avant encore, dans des rituels oubliés des premières sociétés tribales. Ce lien entre l’éveil des sens et l’altération de l’esprit semble universel, traversant les âges et les civilisations.

Lorsqu’on évoque aujourd’hui le croisement entre sexualité et substance, souvent désigné sous le terme de chemsex, l’imaginaire collectif convoque une image marginale, presque souterraine, celle de pratiques perçues comme extrêmes, obscures ou excentriques. Et pourtant, il y a fort à parier que la majorité des lecteurs de cet article ont déjà expérimenté l’acte sexuel sous l’influence d’une ou plusieurs substances, qu’il s’agisse d’alcool, de tabac, de cannabis, voire de café, des drogues certes socialement intégrées, mais psychotropes néanmoins.

Dans ce texte, je ne vais pas m’attarder sur le chemsex tel qu’il est généralement représenté, souvent associé à l’usage de cocaïne, de cathinones ou de stimulants puissants dans des contextes festifs. Mon intention est plutôt d’ouvrir un autre prisme, celui des substances dites psychédéliques, des empathogènes, des dissociatifs, et bien sûr, du cannabis. Ces composés modifient la perception, l’émotion, la sensation, et, par là, la rencontre intime elle-même. L’idée est de creuser ce que ces états modifiés de conscience peuvent révéler, déformer, sublimer ou déstabiliser dans l’expérience sexuelle.

Cet article comportera également son lot d’anecdotes savoureuses, notamment sur les idées préconçues que l’on peut entretenir à propos du lien entre drogues et sexualité. Car au-delà des clichés souvent véhiculés, entre excitation débridée et performances surhumaines, la réalité est parfois bien plus nuancée, intime, et surprenante.

On évoquera ici les substances ayant un réel effet psychotrope, il faut savoir qu’il y a énornmements de substances dont certaines d’origine végétale qui ont des propriétés aphrodisiaques, capables d’influencer la libido, de moduler le désir ou d’altérer subtilement la perception de l’expérience érotique sans être des psychotropes.

Je vous invite maintenant à attacher votre ceinture. Mettez par la même occasion votre préservatif, on ne sait jamais, car ce voyage sensoriel entre corps, esprit et molécules risque de nous emmener plus loin que prévu.

Le set & setting , le partenaire

Lorsqu’il s’agit d’explorer les effets des substances psychotropes, le concept de set and setting , c’est-à-dire l’état d’esprit dans lequel on se trouve (set), et l’environnement physique et social dans lequel on consomme (setting) , reste central. On y ajoute parfois la présence d’un trip sitter, une personne sobre chargée d’assurer la sécurité du voyageur. Mais lorsque la sexualité entre en jeu, la dynamique change radicalement. Dans la majorité des cas, il n’y a pas de tierce personne sobre pour accompagner l’expérience ; les partenaires sont souvent tous plongés, ensemble, dans l’univers altéré de la substance.

Le rapport sexuel lui-même devient alors un setting particulier, un rituel en huis clos. Tout comme on ne fait généralement pas l’amour dans le métro ou au restaurant (sauf si on bénéficie de très longues nappes de table), l’espace dans lequel se vit l’expérience doit être pensé, préparé , il faut se fabriquer un cocon sensoriel. Lumières tamisées, musique choisie, espace confortable : tout cela participe à la qualité de l’expérience, au même titre que la substance elle-même.

En ce qui concerne le choix du ou des partenaires, il est important de souligner une distinction fondamentale. Le chemsex tel qu’il est souvent présenté , avec la luxure, plans à plusieurs, consommation sexuelle effrénée et les abus en tout genre , reposent sur une logique de performance, de consommation rapide et intense. Mais lorsqu’on parle de psychédéliques, d’empathogènes, de dissociatifs ou même de cannabis, la vulnérabilité émotionnelle devient un facteur clef. Ces substances n’ouvrent pas seulement les sens, elles ouvrent aussi l’inconscient, le cœur, les souvenirs enfouis et parfois des blessures ou traumatismes non cicatrisées.

Dans ce contexte, être accompagné d’un partenaire de confiance devient non seulement souhaitable, mais essentiel. Il ne s’agit pas forcément d’un amour exclusif ou d’un engagement formel , cela peut être un ou une amante, un ami intime, un plan cul avec qui une vraie complicité s’est tissée , mais il faut que ce lien permette une forme de lâcher-prise en sécurité. Car si, au cours du voyage, surgissent des images, des émotions ou même des traumas liés à la sexualité ou à l’intime, il faut pouvoir accueillir cela sans panique, avec douceur, et parfois même avec tendresse. Il m’est arrivé personnellement lors d’un mélange de type Candy Flip ( ici avec de l’AL-LAD et du 6-APB ) une situation où ma partenaire de l’époque a eu une remontée de souvenir traumatique d’abus sexuel lors de son enfance en plein milieu du trip et il faut dans cette situation être dévoué pour la personne et pouvoir vraiment accompagner la personne dans au final ce qui devient un trip psychédélique intense qui plonge dans les souvenirs et les traumatismes enfouis au fond de l’inconscient. L’expérience à au final eu un tournant inattendu qui l’à aidée à guérir d’anciennes blessures profondes. 

Les archives du psychédélisme regorgent de récits qui alertent sur cette ouverture brutale de la psyché. À l’époque où Timothy Leary menait ses recherches sur le LSD à Harvard, certains étudiants, fascinés par la puissance de la molécule, l’ont utilisée dans des contextes sexuels sans préparation adéquate. Beaucoup d’entre eux ont vécu des remontées traumatiques inattendues, faute d’accompagnement, ce qui au final apporte plus de négatif que de positif. Loin d’être une simple montée d’extase, l’expérience peut devenir un tsunami émotionnel.

Cela nous amène à une précision importante : si ces substances peuvent en effet amplifier le plaisir, les sensations, et créer une fusion des corps et des esprits, elles décuplent aussi la sensibilité émotionnelle. L’extase peut s’ouvrir comme une fleur rare et précieuse, mais elle se fane vite si l’environnement ou la relation n’est pas propice. À l’inverse, dans un climat de confiance, cette intensité peut mener à une forme de communion rare, profonde, quasi mystique.

Enfin, sur le plan pratique, les recommandations classiques restent valables : ne pas consommer si l’on ne se sent pas prêt, choisir un lieu calme et sécurisé, préparer une playlist douce, couper les distractions (mettez ce téléphone en mode avion), sortir les coussins, anticiper les imprévus. Et surtout, rappelez-vous qu’autant on peut se contenir sobre pour ne pas déranger les voisins ou les colocs, autant sous substance… le contrôle n’est plus une garantie. Préparez le terrain, au sens propre comme au figuré.

Les différentes substances et leurs dosages

Psychédélique : 

Les psychédéliques peuvent profondément enrichir l’expérience sexuelle, en intensifiant les sensations physiques, les émotions, et l’intimité partagée. Ils modifient la perception du corps, du temps, des sensations tactiles et de l’orgasme lui-même, qui peut parfois être perçu comme une vague cosmique traversant tout le corps. Même à très faibles doses, ces substances peuvent rendre l’acte sexuel plus profond, plus sensoriel, plus connecté.

Dans le cadre du chemsex, le psychédélique le plus cité est sans doute le 2C-B, une phénéthylamine autrefois vendue en pharmacie sous le nom d’Erox, à des doses de 5 mg. Très apprécié pour son potentiel érotique, il joue à la frontière entre stimulant, empathogène et psychédélique, rendant les caresses plus vives, les regards plus intenses et les émotions plus transparentes.

On évoquera aussi des composés moins connus comme le 5-MeO-MiPT (Moxy) et le 5-MeO-DiPT (Foxy), qui ont la réputation d’amplifier le plaisir sexuel de manière marquée — bien que leurs effets soient moins bien étudiés. Ce sont des substances dites “pro-érotiques”, souvent utilisées à très faibles doses pour éviter l’effet de surcharge sensorielle. Il y a tout un article de playboy en 2003 sur les partouzes sous Foxy.

Globalement, presque tous les psychédéliques peuvent avoir une utilité dans le contexte sexuel, mais chacun à sa manière. Certains moments du trip se prêtent mieux à l’exploration sexuelle : la montée douce, la descente, ou encore la fin du plateau sont souvent idéaux pour se reconnecter au corps et à l’autre. En revanche, le pic d’intensité peut inviter au lâcher-prise solitaire, à l’introspection ou au silence, bien loin de l’élan sexuel.

L’expérimentation à dose légère est une bonne porte d’entrée : une simple dose un peu plus élevée qu’une microdose ( par exemple 25 µg de LSD ) m’a déjà suffit à pimenter une expérience intime sans être submergé par le trip et les sensations. Au-delà des dosages médiaux ou élevés, la fusion peut rapidement devenir décuplée, et peut mener à la confusion surtout sans communication claire.

Empathogène :   

Les empathogènes, comme la MDMA, le MDA, le 6-APB ou encore le 5-MAPB, sont souvent associés au plaisir social, à l’amour universel et à l’ouverture émotionnelle. Dans un contexte sexuel, leur intérêt est moins lié à la performance ou à la libido brute qu’à l’intensification du lien émotionnel, de la tendresse, de l’épanouissement et du contact sensoriel. Il faut savoir que la MDMA est par exemple utilisée en thérapie de couple avec des résultats impressionnants.

Ces substances agissent notamment sur l’amygdale, réduisant la peur et la vigilance, ce qui facilite la vulnérabilité partagée, la communication sincère, et l’acceptation de soi comme de l’autre. Elles peuvent permettre de faire tomber les barrières, d’oser s’exprimer, toucher, ressentir et même parfois s’ouvrir sur des choses que l’on pensait impossible à partager, le tout sans la peur du jugement.

Cela dit, beaucoup rapportent que ces molécules peuvent inhiber l’érection, notamment chez les hommes. C’est un effet classique, souvent dû à une action de vasoconstriction et à la redirection de l’énergie vers le système émotionnel plutôt que sexuel. Mais ce n’est pas une règle absolue : la sensibilité à cet effet varie énormément d’un individu à l’autre. Il est donc crucial de ne pas y accorder trop d’importance car une absence d’érection sous empathogène ne remet rien en cause sur le désir ou la connexion.

Sous ces substances, l’expérience sexuelle peut souvent devenir plus câline, douce, fusionnelle, avec un plaisir centré sur la tendresse et le toucher plutôt que sur la pénétration ou l’orgasme.

Il est possible d’allier cette proximité émotionnelle avec un rapport sexuel plus dynamique en explorant des combinaisons synergiques, comme :

  • Le Nexus Flip : prise de 2C-B environ de 2h à 2h30 après la MDMA, où encore le Ali Flip qui au final est un Nexus Flip pris au début du plateau du LSD.

Pourquoi ? Car un Nexus Flip permet une progression en trois phases :

  1. Première phase (MDMA seule) : ouverture, connexion, verbalisation, tendresse.
  2. Deuxième phase (arrivée du 2C-B) : les effets empathogène ont un deuxième souffle plus long, l’effet du 2C-B en lui même est intensifié ce qui donne une forte touche érotique de part l’augmentation de la sensibilité sensorielle.
  3. Troisième phase : la vasoconstriction de la MDMA s’atténue, permettant éventuellement le retour des fonctions sexuelles plus “physiques”, tout en conservant la tendresse et la fusion grâce au 2C-B qui permet d’allonger les effets de la MDMA, on est donc dans une expérience unique où l’on peut avoir des effets empathogène et une érection en plus de l’effet du 2C-B lui-même.
    Cela crée une séquence où la communication émotionnelle précède et nourrit une éventuelle sexualité plus active, dans une continuité affective et corporelle.

Dissociatif : 

À première vue, on pourrait se demander : quel intérêt ont les dissociatifs dans un contexte sexuel ? Ces substances, qui altèrent la perception du corps et du soi, peuvent sembler à l’opposé d’une sexualité incarnée et sensorielle. Et pourtant, elles peuvent offrir un terrain tout à fait unique, parfois très utile pour certaines personnes qui ont des difficultés avec le rapport au sex, au corps, à l’autre et au toucher.

Je repense à une ancienne partenaire qui était extrêmement sensible aux psychédéliques et aux empathogènes. À cause de traumatismes non résolus, ces substances faisaient souvent remonter des souvenirs douloureux et elle se retrouvait dans un état de vulnérabilité difficile à gérer. En revanche, sous l’effet de dissociatifs, elle se sentait plus protégée émotionnellement, plus à l’aise dans son corps et donc plus libre d’explorer une sexualité qu’elle contrôlait à sa façon.

C’est là toute la nuance : là où les psychédéliques et empathogènes intensifient les ressentis, les dissociatifs offrent un filtre, une distance. Ce n’est pas une anesthésie émotionnelle, mais une sorte de mise en lévitation de la conscience, qui peut aider certaines personnes à s’autoriser de vivre des expériences qui seraient autrement trop chargées émotionnellement.

À faible dose, des molécules comme la kétamine, le DXM, la DCK, ou autrefois la MXE (Méthoxétamine), ont été utilisées dans des contextes intimes pour leur effet apaisant, introspectif, et presque mystique. La MXE en particulier était connue pour induire une profonde proximité psychique entre les partenaires, une fusion douce, presque télépathique.

Certains témoignages décrivent des rapports où l’égo se dissout, où les corps semblent danser dans l’espace sans friction, où l’union prend une dimension spirituelle ou onirique. Cela peut être particulièrement bénéfique pour celles et ceux qui cherchent à sortir de schémas sexuels rigides, traumatisants ou trop centrés sur la performance et la technicité.

Attention par contre car ces substances sont très loin d’être sans dangers : 

Les dissociatifs peuvent provoquer une perte de sensation corporelle (anesthésie partielle ou complète). Cela augmente les risques de blessures (écorchures, positions douloureuses non perçues, etc.).

Évitez les doses élevées : elles peuvent rendre les mouvements maladroits, désynchronisés, voire vous faire “planer” trop loin pour rester présent dans l’interaction.

En somme, les dissociatifs ne sont pas faits pour tout le monde, mais dans un cadre bienveillant et conscient, ils peuvent permettre une expérience intime singulière, marquée par la douceur, l’exploration abstraite, ou une forme de communion au-delà du corps.

Cannabis : 

C’est sans doute l’une des substances les plus répandues dans les pratiques de chemsex, utilisée par des millions de personnes à travers le monde au moment même où ces mots sont lus. Et si sa banalité apparente masque parfois ses subtilités, son impact sur la sexualité mérite une réelle attention.

Ce qui rend le cannabis intéressant dans un cadre sexuel, c’est sa capacité d’immersion. Il permet de plonger pleinement dans l’instant, que ce soit devant une série, un paysage ou un corps. Lors d’un rapport sexuel, cela se traduit souvent par une présence intense aux sensations, une amplification des plaisirs tactiles, sonores, visuels, et une capacité à ralentir le temps , à savourer chaque geste, chaque souffle.

Mais le revers n’est jamais loin. Le cannabis, surtout chez les personnes sensibles ou dans certains contextes, peut aussi induire :

  • Confusion mentale
  • Boucle anxieuse
  • Paranoïa
  • Depersonnalisation

Autant d’effets qui peuvent court-circuiter le moment, casser l’élan, crispé l’échange voire créer une attaque de panique.

Au niveau des combinaisons avec d’autre substances : 

Pris seul, le cannabis peut offrir un cadre sensuel, introspectif, même sacré. Mais combiné à d’autres substances (comme MDMA, kétamine ou des psychédéliques), il peut modifier fortement l’équilibre psychique de l’expérience. Il peut Intensifier les effets corporels, accélérer les pensées et amplifier l’émotionnel (positivement ou négativement)

Cette amplification peut parfois être un pont vers l’extase… ou une spirale flippante qui rend toute intimité compliquée. La règle : toujours tester les combinaisons en amont, à faible dose, hors contexte sexuel, pour mieux connaître ses réponses physiologiques.

Au delà de la fumée : la voie oral et la voie topique : 

Le cannabis est majoritairement fumé, mais d’autres modes d’administration offrent des profils d’effet très différents, parfois bien plus compatibles avec la sexualité :

Par voie orale (edibles) : effets plus corporels, durée prolongée (4 à 8h), montée plus lente — idéale pour les longues sessions sensuelles si le dosage est maîtrisé.

Par voie transdermale : l’utilisation d’huiles infusées au cannabis, notamment à base d’huile de coco, peut avoir un double effet érotique et pharmacologique. Elles agissent à la fois comme lubrifiant naturel, intensifient la réceptivité cutanée, et instaurent une atmosphère de fusion moelleuse.

Le piège de la dépendance subtile

Contrairement aux psychédéliques, qu’on consomme plus rarement, le cannabis peut s’intégrer dans le quotidien… jusqu’à devenir un pilier de l’intimité. Et là réside le risque : si les expériences sexuelles sous cannabis deviennent la norme, le sexe sans peut paraître fade, terne, voire dénué de sens.

Conclusion

L’exploration sexuelle et la quête du psychonaute partagent une même essence : plonger dans l’inconnu, déplier les couches du soi, de l’autre, du lien. Lorsque ces deux dimensions se rencontrent , à travers l’usage de substances psychédéliques, empathogènes, dissociatives ou autres — un champ d’expériences inédites s’ouvre, encore peu cartographié, mais d’une richesse potentiellement vertigineuse.

Même si ce territoire commence à être exploré par quelques pionniers, son immensité reste à peine effleurée. Il ne s’agit pas seulement d’amplifier le plaisir, mais d’accéder à de nouvelles formes de connexion, d’intimité, de conscience partagée et d’exploration de l’âme.

Le consentement et l’écoute mutuelle sont ici fondamentaux : même si l’idée d’un rapport sexuel est présente avant la prise, cela ne doit jamais devenir une attente. Le respect du rythme et des émotions de chacun prime toujours sur l’intention de “performer”. Le sexe sous psychédéliques, c’est avant tout un voyage partagé — et parfois, le simple fait d’être ensemble, nus et vulnérables, peut suffire à créer une connexion bouleversante.

Important : ces substances psychotropes déshydratent, ce qui peut provoquer une sécheresse des muqueuses (vagin ou anus). Même si vous n’avez pas l’habitude, prévoir du lubrifiant peut être utile. Et bien sûr, boire de l’eau régulièrement est essentiel.

Si vous n’avez jamais expérimenté la sexualité sous substance, je vous invite à y aller avec une extrême précaution. Ces expériences peuvent être intensément attirantes, au point de pousser à brûler les étapes. Pourtant, une mauvaise mise en contexte, une dynamique mal gérée, ou un cadre insécure peuvent transformer un moment sacré en un souvenir profondément douloureux.

Il peut être intéressant de s’intéresser aussi aux plantes et supplément pouvant jouer sur l’intensification de la libido ou de la sensibilité, quelque chose d’aussi commun que le gingembre ou le ginseng peut avoir un grand impact sur l’expérience, en particulier en conjonction à une prise de substance qui décuple les effets de ses plantes, personnellement une microdose de cactus avec une cuillère à soupe de gingembre moulu et je n’ai que le cul en tête !

En tout cas, même si l’exploration semble attrayante et pétillante, rien ne sert de se presser. Prenez le temps. Renseignez-vous. Écoutez votre corps, votre cœur, votre intuition. Et surtout, prenez soin de vous et des autres. Pour les plus curieux je vous laisse ici ma vidéo longue qui traite de ce sujet.

Trippez toujours en sécurité, explorez même en profondeur, mais toujours avec responsabilité ; prenez soin de vous !

Nuit | Blogueur communautaire chez Chemical Collective | youtube.com/c/nuit

Nuit est l’un des blogueurs de notre communauté ici chez Chemical Collective. Si vous souhaitez rejoindre notre équipe de blogueurs et être payé pour écrire sur des sujets qui vous passionnent, veuillez contacter Sam par e-mail à samwoolfe@gmail.com

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